Avant d'accompagner un élève, il faut savoir comment on travaille, et ce qu'on refuse de faire à moitié. Cette semaine, je rends visibles mes gestes de terrain. Une parole simple, située, sans recette : juste ce que je fais, chaque jour, au service des familles.
1. La mission : l'objectif du "déclic"
L'accompagnement que je coordonne s'étend de la maternelle au supérieur, avec rigueur et bienveillance. Ma force, et celle de l'équipe, est d'écouter, de comprendre et de construire un suivi sur mesure. Mon objectif n'est pas la note, mais le déclic — le moment où l'élève dit : "Ah, j'ai compris !"
Mon territoire de travail, entre Paris 15e et la proche banlieue, est vaste et contrasté. Cette diversité n'est pas un obstacle : c'est ma matière première pour créer un soutien personnel et durable.
2. La méthode : du diagnostic à l'alliance
Un soutien scolaire sans écoute, c'est un produit. Ici, je construis des accompagnements. Le processus commence dès le premier appel, où je cherche à comprendre ce qui bloque, et non à parler tarifs. Ma première question est toujours : "Qu'est-ce qui coince, exactement ?"
Le choix de l'enseignant est crucial : je recherche la qualité relationnelle et la capacité à s'ajuster, car c'est là que se joue l'alliance pédagogique qui rend la transmission efficace. C'est un travail d'horlogerie, pas de supermarché.
3. L'engagement : rendre l'apprentissage vivant
Je refuse l'excellence abstraite pour me concentrer sur la capacité à transmettre et à soutenir sans brusquer. Mon travail consiste à créer les conditions pour que la progression advienne.
Ce blog est un journal de bord pour partager ces observations de terrain et les ajustements que je fais chaque jour, avec toujours cette seule question : quel geste, quel choix, quel mot fait basculer l'apprentissage ?
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